Cette communication intervient après la publication des résultats d’une étude réalisée au Danemark sur des sportifs masculins. 14 sur 31 d’entre eux ont reçu de l’ibuprofène pendant 6 semaines à la dose de 1 200 mg ce qui a perturbé la physiologie testiculaire.
Toutefois, l’Ansm précise que « cette étude fait l’objet d’une analyse au niveau européen, afin de déterminer, notamment, si des études complémentaires concernant ces effets s’avèrent nécessaires. A ce stade, ces résultats ne modifient par le rapport bénéfice/risque de l’ibuprofène lorsqu’il est utilisé conformément à son autorisation de mise sur le marché (AMM) ».
En d’autres termes, il doit être utilisé « à la dose efficace la plus faible pendant la durée la plus courte nécessaire au soulagement des symptômes du patient ».
Source : ANSM