Une augmentation de la consommation qui inquiète certains praticiens car, au Maroc, 70 % des médicaments sont vendus sans ordonnance. Or, une utilisation massive des antibiotiques à mauvais escient augmente la résistance des bactéries au traitement et faire courir le risque de se retrouver dans une impasse thérapeutique pour certaines maladies bactériennes.
Source : L’Economiste
4 mars 2013