A l’occasion de la célébration du cinquantenaire de la Faculté de médecine et de pharmacie de Rabat, le ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de la formation des cadres, Lahcen Daoudi, s’est engagé à remédier à cette situation. Il a également relevé le déficit en médecins généralistes et spécialistes dont souffre le pays, affirmant que « les besoins du Maroc dépassent de loin le rythme de création des universités et des facultés, ce qui nécessite des efforts soutenus de la part de tous les acteurs pour résorber le déficit ». L’investissement, dans ce domaine, est conséquent, mais le bénéfice qu’en retirera le Maroc n’a pas de prix.
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Source : AuFait Maroc
18 octobre 2012